Dominique Piron Morgon La Chanaise 2016

Bettane & Desseauve

A propos du domaine :

Figure de proue du Beaujolais en général et de Morgon en particulier, Dominique Piron, rejoint depuis par Julien Révillon son associé, développe une gamme solide de crus du beaujolais. Sur plus de 100 hectares, sept crus sont représentés, avec une majorité logique de morgons. Dans un style épuré, aux nez expressifs, tout en conservant la signature stylistique de l’origine, les vins du domaine sont tous réussis.

Guide Hachette des vins

A propos du domaine :

Héritier de 14 générations vigneronnes, Dominique Piron a passé en 2020 les rênes du domaine familial à Julien Revillon, son associé depuis 2013. Ce dernier est désormais à la tête d'une cinquantaine d'hectares répartis entre les vignes en propre et les achats de raisin pour la partie négoce.

RVF - La Revue du Vin de France / Guide des Meilleurs Vins de France

A propos du domaine :

Julien Revillon, aidé par son talentueux oenologue Pierre Meunier, continue l'oeuvre de Dominique Piron avec constance et brio. Le duo est aidé par le chef de culture Thibaud Lemaître, ce qui devenait nécessaire pour veiller sur un domaine qui représente 90 hectares. Leurs efforts communs ont permis d’améliorer la qualité des raisins et la sélection parcellaire engagée commence à porter ses fruits. Nous sommes séduits par la régularité de la gamme et ses pierres angulaires : spontanéité du fruit, friandise et définition précise de chaque cru.

Wine Enthusiast

A propos du vin :

Ce grand vignoble de 61 acres fait partie des propriétés Piron. Le vin a une grande concentration et une texture dense et mûre qui provient de vignes de 50 ans à faible rendement. Laissez ce vin s'épanouir encore plus.

Jancis Robinson

Vinous A. Galloni

A propos du vin :

Robe rubis pâle. Les arômes piquants de fruits noirs, de violette confite et de minéraux fumés prennent une note épicée à mesure que le vin s'ouvre. Ample et joliment concentré, il présente une texture mâchue aux saveurs de framboise noire et de mûre de Boysen. La finale est longue et séveuse, avec des tanins poussiéreux et un soupçon de viande fumée.

James Suckling