Château Fonroque 2014 - Grand Cru Classé BIO

Bettane & Desseauve

A propos du vin :

 Tout en tension et en fraîcheur fruitée, ce vin possède un grand naturel.

A propos du domaine :

Optant avec exigence pour une viticulture bio, ce château produit des vins avec une trame fine et svelte et des équilibres toujours fondés sur la fraîcheur.

Guide Hachette des vins

A propos du domaine :

La chose est assez rare dans les grands crus bordelais pour être signalée : ce cru est conduit en bio (certifié en 2006) et en biodynamie (2008). Alain Moueix, Corrézien d'origine comme nombre de vignerons établis dans le Libournais, en est le propriétaire depuis 2001.

Guide des Vins Gault & Millau

A propos du vin :

Le nez floral exprime aussi de belles notes de fruits frais et gourmands. Bouche équilibrée, densité moyenne, tanins droits et fermes. Finale légèrement acidulée mais agréable.

Robert Parker - Wine Advocate

A propos du domaine :

RVF - La Revue du Vin de France / Guide des Meilleurs Vins de France

A propos du vin :

2014 s'illustre par son fruit de griotte, sa touche florale et son acidité guillerette. Un style à part, un vin qui s'est densifié pendant l'élevage, incisif et naturel, d'une grande sérénité.

A propos du domaine :

Le Château Fonroque est le berceau saint-émilionnais de la famille Moueix, acquis en 1931 par Jean et Adèle, arrière-grands-parents d’Alain Moueix, qui s’est vu confier la gestion de la propriété familiale en 2001. Chaque génération a apporté son empreinte. Quel que soit le devenir du château, dans un contexte local où les propriétés familiales sont de plus en plus rates, on pourra dire que la génération actuelle n'a pas dérogé à la tradition. Ingénieur agricole et œnologue de formation, Alain Moueix réfléchit au passage en bio dès 2002. Le contrôle pour certification débutera en 2003. En 2005, une progression logique de toutes les démarches entreprises amène l’ensemble du vignoble à la biodynamie. Les 17,6 hectares d’un seul tenant qui composent le vignoble se répartissent sur un plateau et un coteau exposé à l’ouest, au nord-ouest du bourg de Saint-Emilion. « Les meilleures parcelles de la partie haute de la propriété ont été préservées par les générations d’avant, explique Alain Moueix. C’est toujours une décision difficile d’arracher des vieilles vignes puisqu’elles construisent votre grand vin. Quand j’ai commencé à les arracher en 2001, je doutais. Aujourd’hui je n’ai pas de regret. Privé de leur production, cela m'a pénalisé pendant 5 ans, mais aujourd’hui j’en prends tout le bénéfice. »

Jancis Robinson